Article rédigé par Mélina Sarah Ulmann
En collaboration avec Molly Sultan
Pour la petite introduction, j’aurai pu parler du biomagnétisme de manière générale et rester floue sur les possibilités que peut apporter cette thérapie. Toutefois, j’ai décidé d’aller droit au but et de dévoiler tout ses secrets pour le bénéfice du peuple juif. Je crois sincèrement en cette thérapie et je ne crois pas qu’il faut se cacher la face sur ce qu’elle peut réellement faire et ce qu’elle a apporté à plusieurs individus jusqu’à maintenant.
Les témoignages sont nombreux et ce que j’ai vu de mes propres yeux ne peut relever que du miracle de Hashem. Depuis que je fais ce travail, je vous assure que je vois la main d’Hashem dans chaque acte, chaque situation, chaque individu. Ce n’est que par Sa grâce qu’on a le mérite d’avoir cette thérapie et j’ai pensé que c’était de la plus haute importance d’être franche et de faire connaître cette thérapie telle qu’elle s’est dévoilée en commençant par la guérison des patients atteints du Sida.
Tout est Min Hashamayim. Et, si c’est trop de vérité pour certains, ou si la théorie ne tient pas debout pour d’autres, c’est Hashem qui le veut ainsi. Mais les témoignages et les résultats depuis les 25 dernières années sont le vrai dévoilement de la teneur de cette thérapie.
Bonne Lecture.
Qui dit biomagnétisme, parle en fait de magnétisme et de sa relation étroite avec la santé du corps humain. Les bienfaits du magnétisme ne sont pas nouveaux et sont connus depuis des milliers d’années. Son utilisation remonte très loin chez les Chinois, les Hindous, les Égyptiens, les Tibétains, les Perses et même les Juifs en ont fait mention dans les vieux écrits. On dit que Cléopâtre portait un aimant au front pour conserver sa jeunesse.
Dans la communauté juive de Montréal plusieurs histoires ont été rapportées de Rabbins qui ont donné comme conseils à des individus d’utiliser des aimants pour le bienfait de leur santé. Le premier vient d’un couple qui était sans enfants et en consultant le Rav Bentov, la femme a reçu le conseil de toujours porter un aimant sur elle. Puis une autre histoire vient d’un couple en Israël qui après avoir eu plusieurs filles désirait avoir un garçon. Et sous l’avis d’un Rabbin, on leur a conseillé de placer sous le matelas du lit de la femme des aimants. Ils ont eu par la suite des garçons. Ce conseil, ils l’ont d’ailleurs partagé avec deux autres couples qui connaissaient la même situation et qui désiraient avoir un garçon. Les couples ont eu des garçons par la suite en bonne santé.
Mais le biomagnétisme dont on parle aujourd’hui est un phénomène en soi. Il a été découvert récemment par hasard et les effets sur la santé sont si spectaculaires qu’on ne peut pas s’empêcher de voir en elle le début de la Réfouah Chéléma.
Les résultats de ce phénomène parlent de cette Refouah et les témoignages sont nombreux depuis maintenant 25 ans. De la guérison complète de la leucémie, des vertiges, d’infections urinaires chroniques, d’asthme, de maux de dos et d’arthrite, jusqu’a des maladies complexes, tous ont été traités avec des aimants simples, sans électricité, sans douleurs, de manière non invasive et toujours dans la tsnioute.
En 1960, le Dr. Richard Broehringmeyer, médecin à la NASA, a déclaré que les champs magnétiques sont aussi importants pour les voyages dans l’espace que pour le milieu de la santé. Il a été le premier à lier l’importance de l’aimant au potentiel d’Hydrogène (pH) dans les cellules.
En effet, cette thérapie se fait par le biais d’aimants de faible intensité. En positionnant différentes polarités, positives et négatives à des endroits spécifiques du corps, on équilibre le pH de l’organisme. Localisés sur des nerfs, des organes ou des os, les aimants ont pour effets d’identifier un déséquilibre du pH et de traiter celui-ci en laissant agir les aimants pour une période de quelques minutes seulement.
En 1988, le Docteur Isaac Goiz Duran à découvert chez un patient atteint du Sida deux points distincts sur le corps qui réagissaient chacun avec des polarités différentes (positive et négative). Quand ce patient s’est remis de sa maladie, le Dr. Goiz a poursuivi en guérissant 8 autres personnes du Sida. Dans tous ces cas, ce sont les deux mêmes points sur le corps qui réagissaient chacun avec des polarités différentes. À cette époque, il ne se doutait pas encore de l’ampleur de sa découverte.
Guérir des gens du Sida était un exploit en soi, mais ce qu’il venait de découvrir était beaucoup plus grand, il s’agit en fait d’un phénomène.
C’est avec l’Université Autonome de Chapingo1 à Mexico que le Docteur Goiz a pu travailler et approfondir ses recherches. En 1993, il publia sa première thèse : « El Sida es Curable2 » traduction : « Le Sida est curable ». Ce fut le début d’un long parcours avec beaucoup de controverses de l’extérieur de l’Université, mais aujourd’hui sa théorie et ses découvertes demeurent inchangées.
Ce phénomène a un impact réel sur la santé globale du corps. C’est un phénomène qui équilibre le pH du corps et qui permet d’éliminer naturellement tout intrus, tout corps étranger tel que les pathogènes ainsi que de rétablir la fonction normale des organes et des glandes; des organes qui avaient cessé de fonctionner correctement dû à un stress physique, psychologique ou causé par la présence de n’importe quels pathogènes, tel que bactéries, virus, champignons ou parasites.
Ces intrus qui perturbent nos corps, obligent notre organisme à composer avec eux et à s’adapter du mieux possible. L’organisme ne fonctionnera donc pas comme il se doit, mais fonctionne tout de même. Ces intrus peuvent rester dormants car ils ne sont pas toujours éliminés avec l’usage d’antibiotiques.
Les « super bactéries» sont justement l’un des prochains fléaux auxquels le monde fera face dans les années à venir. Les chercheurs scientifiques sont nombreux aujourd’hui à se pencher sur ce sujet : la lutte contre les « super bactéries » qui résistent aux antibiotiques. Les hôpitaux vivent déjà ce stress avec les maladies nosocomiales qui sont transmises par voie aérienne. Des patients doivent être mis en isolation pour contenir l’épidémie interne de l’hôpital et ne pas infecter d’autres personnes. Les mois d’hospitalisation peuvent être très longs et couteux pour le patient et pour l’État.
En fait, selon les études menées par l’Université Chapingo avec le Dr. Goiz, il s’agirait en fait de simples bactéries qui se sont adaptées à leur nouvel environnement qui est le corps humain. En effet, celui-ci est dorénavant sujet aux antibiotiques, à divers médicament et aux vaccins. Des maladies qu’on croyait éradiquées sont en fait encore présentes mais leurs manifestations et leurs symptômes se sont transformés surtout dans les pays développés. Car dans les pays en voie de développement, la population n’ayant pas toujours accès aux vaccins et aux médicaments, les maladies et leurs manifestations sont demeurées les mêmes.
Si on prend l’exemple de la Tuberculose, nous avons tous en tête un patient qui souffre avec des difficultés pulmonaires. Mais le biomagnétisme, et les membres spécifiques sur lesquels on place les aimants pour éliminer cette bactérie, a révélé que des gens souffrant de pierres aux reins sont souvent porteur de cette même bactérie. Ceci a été démontré lors d’études faites en Espagne, en mai 2009, avec le Dr. Raymond Hilu3 et son équipe. Les résultats de ses recherches ont été publiés dans : « Par Biomagnetico Hongos, Virus, Bacterias y Parasitos »4 de l’Universtié Autonome de Chapingo. On retrouve un article détaillé sur les études menées dans la revue Espagnole : « Discovery DSalud » 5
Donc, depuis la première découverte sur la localisation des aimants pour éliminer le virus du VIH, le Dr. Goiz avec l’Université a établi une liste de plus de 300 pathogènes, leurs localisations dans le corps et comment les éliminer avec de simples aimants. De plus, il a découvert que la combinaison de certaines bactéries ou l’association entre divers pathogènes provoquait nombre de maladies. Le simple fait d’éliminer ces intrus, la maladie ou le diagnostic médical devenait désuet. Des maladies dites incurables comme le diabète, l’arthrite, la syphilis, la gonorrhée, l’hépatite, la sclérose en plaques sont en fait dues à des bactéries et des virus ou l’association des deux.
Le biomagnétisme ne dénigre pas la médecine conventionnelle; il offre un complément. Il apporte une nouvelle vision de la santé de notre organisme avec un regard plus global et avec plus de recul. Il n’est pas nécessaire d’être médecin pour comprendre ce phénomène. Il s’agit juste de bon sens et d’une compréhension plus simple du fonctionnement du corps humain et de l’impact que peuvent avoir les pathogènes.
Le principe est simple et pour certains trop simple. Mais pour les croyants, l’idée que Hachem ait donné le remède avant la maladie aide à concevoir la simplicité avec laquelle se présente cette Réfouah Chéléma.
En équilibrant le pH à des endroits bien déterminés, on vient rendre neutre un milieu qui tendait vers l’acidité ou vers l’alcalinité. Un endroit qui était donc propice à l’établissement, à la propagation et à la reproduction de virus ou de tout autres pathogènes. En retrouvant cet équilibre naturellement, ces intrus perdent leurs habitats naturels et se font éliminer du corps par l’urine, les selles, la transpiration, la toux, etc.
Une chose demeure toutefois, c’est le fait que ce qui est détruit et mort ne revient pas encore en vie (Bs Hashem on verra ce jour bientôt). Et que tout dommage causé par la maladie, ou plus spécifiquement par les pathogènes, peut se guérir mais on ne sait jamais jusqu’à quel point. Un exemple qu’on donne souvent concerne l’arthrite ou l’arthrose. Quand on traite un personne qui a ce problème depuis quelques années, elle a plus de chance de voir sa douleur diminuée voire disparaitre complètement comparativement à une personne qui a le même diagnostic depuis plus de 40 ans. Si le cartilage des jointures est endommagé au point où il n’y en a plus, le fait d’éliminer la source du problème ne changera probablement pas la douleur que la personne connait à tous les jours.
Voici le cas d’une personne qui a été diagnostiquée avec la sclérose en plaques il y a dix ans. Il est arrivé à son premier rendez-vous en trainant littéralement son pied et sa jambe droite sur le sol. Pour monter une marche, il devait se servir de ses deux mains pour lever sa jambe et pour positionner son pied pour recevoir le poids de son corps. Après un seul traitement, et une semaine plus tard, il était tout sourire et très heureux des progrès qu’il commençait déjà à percevoir. Déjà, il ne trainait plus sa jambe et son pied droit par terre. Il marchait avec sa canne et il pouvait monter les marches sans l’aide de ses mains pour soulever sa jambe. Après deux traitements, il ne se servait plus de sa canne pour marcher. Il boitait encore mais avec un large sourire. Maintenant, plusieurs mois sont passés et sa mobilité s’améliore encore. Mais peut-on parler de guérison quand il n’y a plus de détérioration de sa condition? Seul Hashem sait jusqu’où il connaitra une amélioration de sa motricité. Car les nerfs qui sont morts l’affectent nécessairement mais son état général connait quand même une réelle amélioration.
En ce qui concerne le cancer et le phénomène des tumeurs, le sujet est plus complexe à expliquer. Mais pour ceux qui souhaitent s’informer davantage, il existe une publication détaillée sur le sujet et bien documentée. La troisième édition fut rédigée et publiée en 2008 par le Dr. Goiz et l’Université : « El Fenomeno Tumoral »6. C’est un sujet fascinant du point de vue du biomagnétisme. Car d’après les données de l’Université, seulement 2 % des diagnostiques de cancer sont de véritables cancers. Les autres cas peuvent facilement être traités car ils sont dus à l’association de pathogènes. Une fois éliminés, les tumeurs disparaissent.
Pour les 2% de cas de cancer, la bactérie qu’ils partagent est la Lèpre. Sa manifestation dans les pays développés est différente de celle que l’on connait dans les pays plus pauvres car son dommage se fait à l’intérieur du corps en s’attaquant aux tissus et aux organes.
C’est, en effet, bien différent de ce qu’on voit en Asie, par exemple, où on connait mieux les effets de cette bactérie sur la dégradation des tissus et des extrémités des membres comme les doigts, les orteils et le bout du nez.
En ce qui concerne les patients qui reçoivent des traitements de chimiothérapie ou de radiothérapie, il n’est pas recommandé de leur faire la Thérapie de Biomagnétisme. Ces traitements ne sont pas compatibles avec le biomagnétisme et il faudra attendre une année avant de pouvoir la traiter avec des aimants.
Toute cette thérapie et son fonctionnement avec la dualité des polarités positives et négatives nous fait penser à la Torah et aux commandements positifs et négatifs. Cette thérapie de biomagnétisme qui aide à retrouver l’équilibre du pH en plaçant les aimants sur des membres, des organes et des nerfs se rapproche étrangement d’un concept développé par certains rabbins en lien direct avec l’anatomie humaine et les mitsvotes. Il s’agit en fait de la particularité des 613 commandements et comment ces mitsvotes sont classées en deux grandes catégories soit en 248 mitsvotes positives et en 365 mitsvotes négatives ou interdictions.
D’après nos Sages7, le corps est composé de 248 membres ou organes et 365 nerfs ou tendons8 et ces derniers seraient directement reliés aux 248 commandements positifs9 et aux 365 commandements négatifs10.
D’après cette analyse, chaque commandement, donc chaque mitsva, serait reliée à un organe, un membre, un nerf ou un tendon. Le fait de ne pas respecter une interdiction pourrait alors nuire à un tendon ou à un nerf tout comme le fait de ne pas accomplir une mitsva positive pourrait avoir un impact sur le bon fonctionnement des membres et des organes.
Donc, en relation avec la Thérapie de Biomagnétisme, celle-ci concentre les aimants justement sur des organes et des nerfs bien spécifiques. Il serait facile de croire qu’il existe une relation entre ces parties du corps et les commandements et on oserait deduire que les problèmes de santé que l’on retrouve chez chaque individu en rapport au positionnement des aimants soient reliés à une faute commise ou à une mitsva positive qui n’a pas eu la chance d’être accomplie.
D’après Ye’hezkel Is’hayek, dans son livre intitulé : « Une vie saine selon la Halakha » le ‘Hafetz-‘Haim11 avait l’habitude de dire : « L’importance accordée par la Tora à une bonne santé transparaît dans le fait qu’elle promet la santé en récompense à celui qui observe les commandements, qui accomplit la volonté divine et agit au-delà de la ligne de la stricte justice. En effet, il est écrit (Chémot15, 26) : « Si vous écoutez la voix de l’Éternel votre D’, vous vous appliquez à Lui plaire […] et si vous observez toutes Ses lois, aucune des plaies d’Égypte ne vous atteindra… ». Le Saint béni soit-Il promet que l’observance la plus parfaite des mitsvotes sera récompensée par une bonne santé.12
La bioénergie est un traitement et une approche différente de la Thérapie de Biomagnétisme mais elle vient la complémenter de manière extraordinaire. Basée sur la kinésiologie et les réflexes musculaires, elle a été combinée au Biomagnétisme pour la première fois en 1993. Elle facilite la thérapie avec les aimants en réduisant la durée d’un traitement et en améliorant la précision du placement des aimants sur le corps. Elle permet au thérapeute de travailler de manière plus personnelle avec l’individu et avec les problèmes qu’il rencontre. Mais ce volet de la thérapie sera développé ultérieurement dans un autre article, car celui-ci avait pour but de vous introduire doucement au Biomagnétisme.
Mme Molly Sultan, certifiée Thérapeute de Biomagnétisme du Dr. Goiz, sera présente en Israël du 20 juin au 24 juillet 2013.
Article rédigé par Mélina Sarah Ulmann biomagnetismcan@gmail.com
En collaboration avec Molly Sultan molly_sultan@yahoo.com
2 « El Sida es curable », édition 1993, Dr. Isaac Goiz Duran, Universidad Autónoma Chapingo, México
4 « Par Biomagnetico Hongos, Virus, Bacterias y Parasitos », édition 2009, Dr. Raymond Hilu, Dr. Isaac Goiz Duran, Dr. Guillermo Mendoza Castelan, Universidad Autónoma Chapingo, México
5 http://www.dsalud.com/index.php?pagina=articulo&c=143
6 « El Fenomeno Tumoral », édition 2008, Dr. Isaac Goiz Duran, Universidad Autónoma Chapingo, México
7 Source: http://www.fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/1678948/jewish/La-signification-du-nombre-des-613-commandements.htm
8 Cette répartition n’est pas basée sur une méthode scientifique, mais sur le nombre des organes qui tiennent une place importante dans la loi juive. Ils sont répertoriés dans l’Encyclopedia Talmudit (hébreu), vol. 1, p. 114 et suiv. Cette source provient également du site www.fr.chabad.org
9 Talmud, Makkot 23b. Cette source provient également du site www.fr.chabad.org
10 Zohar I 170b. Cette source provient également du site www.fr.chabad.org
11 Tiré du livre : « Une vie saine selon la Halakha » de Ye’hezkel Is’hayek, 2e édition, France, page 138.
12 Ibid
Devi essere connesso per inviare un commento.
Bonjour, y a t’ il des thérapeutes en biomagnétisme au Québec ? J’ aurais aimé prendre des cours ici, sinon je crois que je vais le faire au Mexique. Vous avez une réponse ? Merci
Bonjour, oui il y a des thérapeutes en biomagnétisme au Québec. Vous pouvez contacter Molly Sultan, tel. 514. 738.6517
molly_sultan@yahoo.com
shalom