Prenez conscience de votre responsabilité : Maïmonide disait que "le médecin doit prendre sa profession très au sérieux. Il ne doit pas refuser son aide." Le médecin qui se refuse à apporter de l’aide quand il est sollicité, ou celui qui exerce la médecine sans étudier à fond les souffrances de ses malades, est comparable à un assassin.
Prenez des précautions face à une amputation : Soyez soigneux et prudent. Finissez l'amputation proche de l'endroit de démarcation où le tissu sain est uni. Une fois que le membre a été amputé, cautérisez le moignon.
Avant une intervention chirurgicale, prenez les précautions suivantes :
terminez l’œuvre dans le laps de temps le plus court possible. Que le patient ne sente pas de douleur durant la chirurgie et qu’il soit convaincu d'obtenir un résultat positif. C’est de ce dernier fait que découle que vous êtes certain d’atteindre votre objectif sans causer de dommages collatéraux au patient et que la maladie ne réapparaîtra pas.
Évaluez correctement la nécessité de plâtrage dans le cas de fractures :
En cas de fracture, il faut bander le bras ou la jambe, les placer dans la position dans laquelle ils étaient et dans laquelle ils seront utilisés par le patient. Les fractures requièrent, en général, l'application de plâtre pour éviter le mouvement.
Prêtez attention aux malades souffrant d'asthme puisque c'est une maladie qui a beaucoup d'aspects étiologiques et qui doit être traitée conformément aux causes distinctes qui l'occasionnent. L'asthme ne peut pas être traité avec succès sans une connaissance de la constitution du patient en général et de ses organes en particulier.
Soignez l'état du psychique de vos patients : "... Les passions du psychique produisent des changements dans le corps... tels que : une diminution de la force, du pouls, de l'appétit, de la température..." Pour maintenir un équilibre de la santé comme de la maladie, efforcez-vous pour qu’aussi bien les malades que les personnes saines soient animées d'une âme et allégés des passions du psychique qui causent de l’anxiété, de la mélancolie, des obsessions, de la terreur, etc.. et qui les empêchent de profiter et apprécier la vie. Pour cette raison, "le médecin – en tant que scientifique doit soigner la personnalité de l'homme et cultiver les sens" afin d’apprécier la vie. " Ouïe :" en écoutant de la musique faite avec des instruments à cordes et de la flûte ". Vue :" En Contemplant de beaux tableaux ". Odorat :" En se promenant dans de beaux jardins”. Goût : "En mangeant des mets relevés". De telles choses, nous préservent "elles ne doivent pas être considérées comme immorales et superflues".
Calmez un patient en cas de morsure par une vipère ou un scorpion et permettez-lui de souffler sur l’endroit de la morsure et de prononcer certaines formules pour chasser le mal. Cela tranquillisera le patient, bien que cela ne soit d’aucune réelle utilité.
Pour traiter un cancer : Disséquez la partie pathologique complètement jusqu'à ce qu'aucune racine ne reste.
Éliminez le liquide accumulé dans un organe : Cela peut réussir avec des diurétiques ou par ponction avec un couteau ou au moyen d'un cathéter. Parfois, il faut extirper une partie de la membrane en traitant la maladie de l'appareil circulatoire de liquide appelé hydrocèle. De plus, il faut extirper une partie du mésentère.
Prescrivez des gouttes pour les yeux puisque c'est l'organe le plus sensible de tout le corps. Ces médicaments ne doivent pas être irritants. 1
